Re: balade de la cabane
Publié : 13 Juil 2015, 21:15
« La balade de la Cabane », comme si vous y étiez…
Le titre fait très champêtre, voire très « parc et jardin » somme toute… sauf que pour l’occasion, l’organisation a décidé de dédier l’évènement aux Quattro. Bref par sympathie, j’y engage la Dakar (ce qui lui permettra de faire 250 km de rodage). Dré, mon copi habituel accompagne son ami Joël, aussi détenteur d’une belle Ur Quattro.
Nos amis Bernard et Christophe avaient sorti leur beau jouet. Ma fille était même là pour copiloter dans une mini.
Tout ça est donc très familiale puisque, de surcroît, Hugo me copilote.
La Dakar fait sensation. A son volant tout se transforme… Nous voilà déjà au point le plus éloigné de la balade, dans la région de Durbuy… et c’est là que tout bascule. La visse de l’unibole qui tient la rotule de suspension de la roue arrière gauche se fait la malle et dans un virage droite, le triangle tombe, libère la roue qui devient littéralement folle. Elle me bousille le pare-choc arrière, puis fait du punchingball dans le garde-boue. C’est la cata… Que faire si loin de tout. J’ai certes Ethias assistance mais si c’est pour attendre le reste de la journée sur place, non merci…
Il est 11hrs. Je téléphone à Carine, la femme de tous mes coups, pour qu’elle monte au hangar, ramasse le max d’outil, fasse attacher le plateau au cul de l’A4 de papy, mette ce dernier au volant (les papas ont le bon dos) et zou, le tour serait joué.
30 sec plus tard, crac, Carine m’informe que mes parents se promènent dans… je vous le donne dans le mille, dans la région de Durbuy. Dommage qu’ils n’aient pas fait cette promenade avec le plateau accroché
Je passe les détails et me voilà démuni si ce n’est que c’est là que la magie des amis s’opère. Dré , mon copi habituel, décide d’abandonner le rallye et d’aller chercher mon plateau. Quel geste, j’en suis encore sur le cul !!!
Joël et Dré font donc tout le trajet jusque Gives pour récupérer l’A6. Pendant ce temps ma bonne Carine va au hangar pour tout ouvrir et préparer le matos. Vers 13hrs, ils sont là.
Pendant ce temps avec mon cric et celui d’un concurrent, je parviens à rechasser le triangle baladeur dans l’unibole. A défaut de trouver une visse ad-hoc, j’attache le tout avec une sangle. Au moins, l’auto redevient mobile. Je rafistole le pare-chocs et range les morceaux.
A peine Dré arrivé, on charge la bestiole et nous voilà sur le chemin de retour…
A 14hrs30, la dakar est au bercail et je réintègre le rallye avec la « petite et fidèle 80 qui va bien »…
Nous terminerons donc le rallye grâce au geste bien généreux de la part de Joël et Dré. D’ailleurs l’organisateur ne s’y est pas trompé et le prix de la meilleure Quattro est devenu le prix de bravoure et c’est nos deux comparses qui l’ont acquis de toute évidence.
En consolation, j’aurai tout de même le prix de la plus belle auto… la joie d’avoir vécu une journée complète avec mon petit gars et la grande faveur de l’amitié de mon copilote habituel.
Le titre fait très champêtre, voire très « parc et jardin » somme toute… sauf que pour l’occasion, l’organisation a décidé de dédier l’évènement aux Quattro. Bref par sympathie, j’y engage la Dakar (ce qui lui permettra de faire 250 km de rodage). Dré, mon copi habituel accompagne son ami Joël, aussi détenteur d’une belle Ur Quattro.
Nos amis Bernard et Christophe avaient sorti leur beau jouet. Ma fille était même là pour copiloter dans une mini.
Tout ça est donc très familiale puisque, de surcroît, Hugo me copilote.
La Dakar fait sensation. A son volant tout se transforme… Nous voilà déjà au point le plus éloigné de la balade, dans la région de Durbuy… et c’est là que tout bascule. La visse de l’unibole qui tient la rotule de suspension de la roue arrière gauche se fait la malle et dans un virage droite, le triangle tombe, libère la roue qui devient littéralement folle. Elle me bousille le pare-choc arrière, puis fait du punchingball dans le garde-boue. C’est la cata… Que faire si loin de tout. J’ai certes Ethias assistance mais si c’est pour attendre le reste de la journée sur place, non merci…
Il est 11hrs. Je téléphone à Carine, la femme de tous mes coups, pour qu’elle monte au hangar, ramasse le max d’outil, fasse attacher le plateau au cul de l’A4 de papy, mette ce dernier au volant (les papas ont le bon dos) et zou, le tour serait joué.
30 sec plus tard, crac, Carine m’informe que mes parents se promènent dans… je vous le donne dans le mille, dans la région de Durbuy. Dommage qu’ils n’aient pas fait cette promenade avec le plateau accroché
Je passe les détails et me voilà démuni si ce n’est que c’est là que la magie des amis s’opère. Dré , mon copi habituel, décide d’abandonner le rallye et d’aller chercher mon plateau. Quel geste, j’en suis encore sur le cul !!!
Joël et Dré font donc tout le trajet jusque Gives pour récupérer l’A6. Pendant ce temps ma bonne Carine va au hangar pour tout ouvrir et préparer le matos. Vers 13hrs, ils sont là.
Pendant ce temps avec mon cric et celui d’un concurrent, je parviens à rechasser le triangle baladeur dans l’unibole. A défaut de trouver une visse ad-hoc, j’attache le tout avec une sangle. Au moins, l’auto redevient mobile. Je rafistole le pare-chocs et range les morceaux.
A peine Dré arrivé, on charge la bestiole et nous voilà sur le chemin de retour…
A 14hrs30, la dakar est au bercail et je réintègre le rallye avec la « petite et fidèle 80 qui va bien »…
Nous terminerons donc le rallye grâce au geste bien généreux de la part de Joël et Dré. D’ailleurs l’organisateur ne s’y est pas trompé et le prix de la meilleure Quattro est devenu le prix de bravoure et c’est nos deux comparses qui l’ont acquis de toute évidence.
En consolation, j’aurai tout de même le prix de la plus belle auto… la joie d’avoir vécu une journée complète avec mon petit gars et la grande faveur de l’amitié de mon copilote habituel.